
pour conserver et développer les accords de pêche controversés qui leur permettent de pêcher dans les eaux d’autres pays, notamment en Afrique, en échange de compensations financières, selon des sources diplomatiques. Paris et Madrid "considèrent comme essentiel le maintien des accords de pêche existants, et la possibilité d’une extension des possibilités de pêche"
Les deux principales puissances européennes de pêche sont aussi les principaux bénéficiaires de ces accords de pêche, par lesquels des pays comme le Maroc ou la Mauritanie les autorisent à venir pêcher dans leurs eaux en échange de compensations financières ou d’aide au développement.(...)
Les Français et les Espagnols redoutent que la commissaire européenne à la pêche, Maria Damanaki, cède aux pressions des ONG et veuille remettre en cause ces accords à la faveur de la réforme de la politique commune de la pêche, observe un diplomate européen sous couvert d’anonymat.(...) Wikio