
Ceci est une première analyse, suite aux déclarations du DisinfoLab, mais avant que leur étude ne soit publiée.
Ce second billet, sur lequel nous vous renvoyons, analyse en détail cette étude, et montre qu’elle présente d’énormes failles méthodologiques
Après le Brexit, l’élection de Trump, la Catalogne, les fausses informations lors de l’élection de Macron, les armes chimiques en Syrie, la cyberattaque des JO de Pyeongchang, la Vague de Froid de l’hiver dernier, etc, voici aujourd’hui l’ombre russe dans… l’affaire Benalla.
Cette narrative est venue de l’association “EU DisinfoLab”, par la voix du cofondateur Nicolas Vanderbiest et de son président Alexandre Alaphilippe.
Nous allons donc présenter cette association, puis ses récents travaux et enfin analyser les réactions de la presse.
- EU DisinfoLab et sa galaxie
- Le Monitoring des élections françaises de 2017 par EU DisinfoLab
- L’étude de Nicolas Vanderbiest sur l’affaire Benalla
- Les tweets de Nicolas Vanderbiest sur le “gonflage numérique” de l’affaire Benalla
- “L’écosystème russophile” de Nicolas Vanderbiest
- De la désinformation par les grands médias à la récupération politique
- Fact-checking de Nicolas Vanderbiest : la victime crimméenne
- Des erreurs et biais grotesques disqualifiant l’étude ?
(...)
sauf erreur, on ne trouve rien sur leur site à propos de son financement.
Grâce à la précieuse équipe d’Arrêts sur Images, on apprend cependant ceci :
La structure serait donc financée exclusivement par… Twitter (sic.) et compte l’UE parmi ses partenaires….
Ils ne cachent cependant pas l’identité de leurs partenaires : (...)
Lire aussi : Communiqué de presse : EU DisinfoLab, la diffusion scandaleuse d’un démenti mensonger