
Comment voulez-vous qu’une Europe dont l’économie est basée sur le système économique de l’école de Chicago de Milton Friedman, et dont les brillants effets ont été testés grandeur nature au Chili durant les années Pinochet, avec les résultats dévastateurs que l’on sait, puisse apporter une solution à l’avenir de l’humanité ? C’est impossible. Le système est vicié à la base. Dépecer l’Etat pour tout confier « au marché » ne marche que dans les esprits lobotomisés des fervents défenseurs du système capitaliste !
(...) ’on peut se poser la question de savoir pourquoi des gens pourtant intelligents poursuivent envers et contre tout cette fuite en avant ? La réponse est simple, et malheureusement assez simple : l’objectif de ces gens n’est pas et n’a jamais été la prospérité de leurs peuples respectifs, malgré toutes leurs déclarations hypocrites depuis des décennies. Si tel avait été le cas, il y a longtemps que nous devrions être dans une prospérité extraordinaire. Mais comme de toute évidence c’est exactement le contraire qui se passe, c’est que ces gens nous ont menti et continuent à nous mentir pour justifier leur spoliation des peuples. Et le mot n’est pas trop fort.
Les politiciens et économistes en tout genre sont au service d’une oligarchie dont l’ambition finale est de mettre le monde en coupe réglée. Leur finalité est d’emmagasiner toujours plus d’argent, plus de pouvoir, quitte à mettre à feu et à sang la planète, afin de pouvoir régner sur une population d’esclaves à leur service. Pour ce faire, ils n’hésitent pas à organiser le chaos, qu’il soit économique, social, religieux ou politique. Car c’est en plongeant les masses dans le chaos que les élites peuvent profiter de leurs positions et perpétuer leurs privilèges. (...)
Il nous appartient de nous réveiller, de rejeter massivement ce qui n’est en aucun cas une fatalité, mais une volonté délibérée de nuisance de la part de cette oligarchie. Refusons ces diktats, établissons un autre type de société basé sur un autre paradigme, qui met les êtres humains, tous les êtres humains, et leur épanouissement sur tous les plans, au centre des préoccupations, et non l’enrichissement exponentiel et crapuleux d’une toute petite minorité d’individus.
Si nous ne faisons rien, l’adversaire, lui, fait son travail. (...)