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Les eaux glacées du calcul égoïste
Perturbateurs endocriniens partout, santé environnementale nulle part
Article mis en ligne le 16 mai 2019
dernière modification le 14 mai 2019

Générations futures a présenté le 16 avril dernier une enquête originale sur la présence de pesticides perturbateurs endocriniens suspectés dans les eaux de surface en France.

Générations futures a présenté le 16 avril dernier une enquête originale sur la présence de pesticides perturbateurs endocriniens suspectés dans les eaux de surface en France. (...)

« D’après les données 2015 de la base Naïades* sur les eaux de surface en France métropolitaine, Martinique et Réunion,nous avons retrouvé :

 Un total de 232 substances actives de pesticides ou de métabolites perturbateurs endocriniens suspectés recherchés au moins une fois dans un département, la moyenne par département est de 183 environ.

 La moyenne par département de substances actives de pesticides ou de métabolites supposées perturbateurs endocriniens quantifiés est de plus de 41, soit 22,8% environ des pesticides PE suspectés recherchés.

 Le nombre de substances actives de pesticides ou métabolites supposées perturbateurs endocriniens quantifiés est très variable selon les départements : de 4 pour la Corse du sud à 90 pour le Calvados.

 Les substances actives de pesticides ou les métabolites supposées perturbateurs endocriniens les plus fréquemment quantifiées par rapport au nombre d’analyses réalisées varient également selon les départements. Les 3 substances qui arrivent le plus fréquemment en tête sont : glyphosate (37 départements), Atrazine-Déséthyl (30 départements), Méto-lachlor (15 départements). »