
Confier à des robots le soin de surveiller et couper la parole des humains ne peut conduire qu'à ce genre d'inepties. Mais l'inquiétant c'est de voir que le législateur achète le recours à l'IA comme quasi obligation légale pour brider de façon automatisée la liberté d'expression https://t.co/jhXHCFhKNP
— Guillaume Champeau (@gchampeau) February 24, 2021
Le saviez-vous ? Il y a quelques mois, Dedalus, "leader européen des logiciels de santé", qui équipe tous les laboratoires ici piratés, a licencié un salarié pour faute grave. Il avait alerté le ministère après avoir repéré une centaine de failles.https://t.co/OK7sAPUfOs https://t.co/CjPte279Wo
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) February 23, 2021
Libé a identifié le maillon faible de la chaîne censée garantir la sécurité de ces données.Les infos ont été dérobées à des labos d'analyses biologiques après l'abandon d'un même logiciel de gestion des données patients. Cinq departements et une trentaine de labos sont concernés.
— CheckNews (@CheckNewsfr) February 23, 2021
Retrouvez cette enquête signée @VincentCoquaz, @Curiolog, @Alexandre_HRN et @LeboucqF dès à présent sur le site de @libe, et dans l'édition du mercredi du journal. https://t.co/hjBTizXOi4 #cybersecurite #santé #hacking (4/4)
— CheckNews (@CheckNewsfr) February 23, 2021
— Elisabeth Anais (@Eli_Ana_Ma) February 23, 2021