
Véritable opération "Il faut sauver le soldat Z*mmour", le plateau consistait à relayer l’appel d’EZ aux maires (afin que ces derniers lui apportent les parrainages manquants) et alerter le public populaire de TPMP sur le risque d’une élection "volée" (un classique). pic.twitter.com/r0WfQNsB40
— Claire Sécail (@clairesecail) January 7, 2022
Ici, rien de tel. Le maire Marc Gairin, qui a apporté son soutien à EZ, est le seul invité de la séquence. Il peut compter sur les questions prévenantes d’Hanouna et le quasi silence des chroniqueurs. Le plateau n’est pas prévu pour être un contradictoire. pic.twitter.com/jMgO0lGG46
— Claire Sécail (@clairesecail) January 7, 2022
Cette tribune revient à offrir, par l’intermédiaire d’un talk show populaire, un véritable service au candidat, susceptible d’être considéré comme une dépense électorale illégale en sa faveur. Aucun candidat n’obtient un tel traitement de faveur dans TPMP. https://t.co/R8uBHT0Nbb
— Claire Sécail (@clairesecail) January 7, 2022
En effet, l’analyse des réponses aux consultations Twitter de TPMP depuis septembre montre que les communautés affinitaires d’extr droite se surmobilisent dès qu’une question porte sur Z*mmour (forte participation, nombre + élevé de RT/likes, réponses majoritairement favorables).
— Claire Sécail (@clairesecail) January 7, 2022
Aux particularités de cette séquences s’ajoute une modalité plus courante du traitement d’Eric Zemmour dans TPMP : l’exaltation récurrente de la figure de la victime par TPMP converge avec la stratégie de victimisation du candidat.
— Claire Sécail (@clairesecail) January 7, 2022
Pour l'intérêt que le producteur Hanouna peut tirer de ces séquences, c'est ici 👇https://t.co/S9ktYEmN5A
— Claire Sécail (@clairesecail) January 7, 2022