
La plupart des documents mis en ligne par Wikileaks confirment que les États-Unis ont lancé une "sale" guerre contre le Venezuela et son Peuple. Sans ces documents, il n’y aurait qu’une multiplication d’indices. La personne en charge de Wikileaks, celle qui a permis que nous puissions savoir, est aujourd’hui menacée de mort. Kidnappé par la Grande Bretagne, avec la servile complicité du gouvernement d’Équateur, Julian Assange risque d’être prochainement déporté aux USA où l’attende un procès truqué et trois vies humaines de prison en haute sécurité. A travers Julian Assange, c’est notre droit à être informé qui est en jeu. Ne l’oubliez jamais. (...)
En ce qui concerne la lettre qui avertit que l’extradition d’Assange donnerait "le feu vert à la criminalisation du journalisme d’investigation comme espionnage", nous nous souvenons de ces fuites qui ont révélé une partie de ce que les États-Unis ont dit et prévu sur le Venezuela, son peuple et ses politiciens.(...)