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Conférence internationale « Le marronnage et ses incidences dans la Caraïbe et les Amériques » 31 mai en Guadeloupe
#marronnage #esclavage #Caraibes
Article mis en ligne le 26 mai 2025

Dimensions culturelles, sociales et politiques contemporaines du marronnage, avec la participation de Gladys Francis, Pamela Obertan, René Louise, Camila Valdes-Leon, Edwy Plenel et Patrick Chamoiseau.

Accès libre et gratuit

Placée sous le thème «  Mémoires en partage : créer, transmettre, réparer  », cette série de manifestations artistiques, culturelles et scientifiques se déploie sur l’ensemble du territoire jusqu’au 31 mai.
La programmation met en lumière la pluralité des récits et l’importance de faire mémoire comme acte de reconnaissance, de transmission et de construction. Elle rend hommage aux luttes menées pour la liberté, tout en affirmant la mémoire comme un levier d’émancipation individuelle et collective.

Lire aussi :

 (Wikipedia)
Marronnage (esclavage)

Le marronnage est, à l’époque coloniale, la fuite d’un esclave hors de la propriété de son maître en Amérique, aux Antilles ou dans les Mascareignes. Le fugitif lui-même était appelé marron ou nègre marron, negmarron, voire cimarron (d’après cimarrón, le terme espagnol d’origine).

Le terme de « marron » vient de l’espagnol cimarrón, « vivant sur les cimes » (de cima, « cime »), qui apparaît dès la conquête d’Hispaniola. C’est un mot emprunté aux Arawaks et qui désigne des animaux domestiques qui s’échappent et retournent à l’état sauvage[1]. À partir de 1540, ce terme désigne les esclaves fugitifs et finira par désigner plus globalement celui qui retourne vers l’état de nature. (...)