
Tout a commencé (enfin, tel qu’officiellement reconnu par les “victimes”) le mardi 20 août : une mystérieuse “erreur informatique” paralysait Goldman Sachs. Puis ce fut le tour de l’indice boursier américain Nasdaq bloqué trois heures durant le jeudi 22 par un incident similaire.
Puis, l’interruption inopinée des cotations du marché à terme Eurex (26/08). Puis le tour de la bourse de Chicago (matin du 27/08). Puis la paralysie du site du New York Times (soirée du 27/08)…
Oui, oui, j’en vois déjà certains parmi vous qui haussent les sourcils, soupçonneux : « Ah, ce chroniqueur, quel “complotiste” ! Vous allez voir que… » Vous avez raison. Sauf qu’en l’occurrence, le complot, ce n’est pas moi qui vous l’annonce. Mais les “victimes” elles-mêmes.
Des certitudes… au conditionnel !
Avivah Litan, “analyste de la sécurité bancaire”, à propos du blocage Nasdaq :
« Ma première idée est qu’il s’agit d’une attaque par déni de service , mais je ne suis pas sûr. C’est une cible très attrayante, très visible. (...)