
La Ministre de la Santé a annoncé, le 5 juillet 2017, son souhait d’étendre l’obligation vaccinale de trois à onze maladies. Les députés ont voté le projet de loi le 27 octobre.
Que feront les sénateurs ?
De fausses informations ont été diffusées ces dernières semaines par la ministre de la santé et le rapporteur du projet de loi à l’Assemblée Nationale. Ce n’est pas acceptable, faisons-le savoir !
Le projet ministériel repose sur une erreur d’analyse
L’association E3M a fait réaliser un sondage par l’Institut BVA (http://bva-group.com/sondages/les-parents-et-la-vaccination) : 9 parents sur 10 continueraient à faire vacciner leur(s) enfant(s) si l’obligation vaccinale était levée. Parmi les 10% de parents « réticents », 37% feraient vacciner leurs enfants s’ils pouvaient disposer de vaccins sans aluminium. La couverture vaccinale serait alors portée à 93,7%, très proche de l’objectif de l’OMS d’atteindre un taux de vaccination de 95% de la population.
Le sondage confirme ce qu’avaient exprimé les jurys citoyens et professionnels de santé lors de la concertation sur la vaccination menée en 2016 : les Français attendent des vaccins sans aluminium.
Le projet ministériel impliquerait l’injection supplémentaire d’aluminium
La toxicité à long terme des adjuvants aluminiques n’a fait l’objet d’aucune investigation expérimentale
officielle depuis leur introduction dans les vaccins en 1926. Les rares études de référence sur lesquelles se sont appuyées les agences sanitaires pour déclarer l’innocuité des sels d’aluminium sont obsolètes et méthodologiquement irrecevables.
A contrario, les travaux les plus récents des Pr Gherardi et Authier (INSERM, 2015-2016) montrent que l’aluminium perdure de nombreux mois au site d’injection vaccinale, qu’il migre ensuite dans l’organisme et qu’il s’accumule dans le cerveau, les ganglions lymphatiques et la rate.
Le Conseil d’État a établi une solide jurisprudence avec, depuis fin 2012, huit arrêts consécutifs reconnaissants le lien entre aluminium vaccinal et myofasciite à macrophages.
Le projet ministériel amplifierait la méfiance des citoyens et professionnels de santé (...)
Les Français veulent comprendre avant de décider, ils veulent être entendus et considérés comme des citoyens responsables.
Le débat est biaisé par les fausses informations diffusées par la ministre de la santé
Ces dernières semaines, de fausses informations ont été répandues tant dans la presse que devant la représentation nationale. La ministre de la santé ainsi que le rapporteur général pour le PLFSS (projet de loi de financement de la sécurité sociale) à l’Assemblée Nationale ont diffusé des données erronées. Nous les présentons et les contestons dans une note de désintox. (...)