
Il y a une semaine, nous étions une 100aine d'énarques, d'attaché.e.s, d'administratrices.. de gens avec plus ou moins de "galons".
Il nous semblait que les urgences sanitaire, sociale, climatique, démocratique, nécessitaient une autre parole.
De décrypter les blocages de l'Etat.— Arnaud Bontemps (@arnaudbontemps) May 9, 2021
Ce que cela dit, c'est le caractère généralisé des dysfonctionnements internes de nos services publics.
Entre baisses de moyens, court-termisme, absence de discussions internes etc. la perte de sens est omniprésente.
On ne peut plus faire nos métiers. Dans lesquels on croit tant— Arnaud Bontemps (@arnaudbontemps) May 9, 2021
Ce que cela dit, c'est combien nous avons des difficultés à nous organiser en interne. A penser qu'il est possible de faire changer les choses, et à trouver les moyens pour agir ensemble.
Et cela dit aussi combien un tout petit déclic peut représenter un intérêt ou une attente..— Arnaud Bontemps (@arnaudbontemps) May 9, 2021
Si en une semaine nous sommes déjà 600, c'est que dans chaque service, dans chaque bâtiment, il y a des collègues qui comprennent que ce que l'on nous demande ne répond plus aux besoins des citoyens.
Même chez les directrices, les administrateurs ou les "cadres" en tout genre.
— Arnaud Bontemps (@arnaudbontemps) May 9, 2021
Des appuis il y en a ! Des collectifs, des syndicats, des collègues, des citoyens..
Le collectif @nosservicespub propose justement de construire ces convergences.Alors au travail : il y a beaucoup à reconstruire !
Et nous serons de plus en plus nombreux à nous y atteler. 😌— Arnaud Bontemps (@arnaudbontemps) May 9, 2021
PS : et j'en profite, nous avons déjà plus de 1000 réponses à notre questionnaire sur le sens et la perte de sens dans les services publics... mais ce n'est pas assez !
Remplissez-le et faites-le tourner autour de vous ⤵️https://t.co/8hNgckbets— Arnaud Bontemps (@arnaudbontemps) May 9, 2021