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chroniques du yeti
Les banques trop grosses pour être (encore) sauvées
Article mis en ligne le 13 février 2016

Il n’y a pas qu’en Europe que les banques sont en faillite.

Il n’y a pas qu’en Grèce que les banques sont en faillite.

Il n’y a pas qu’en Italie que les banques sont en faillite.

Il n’y a pas qu’en Espagne que les banques sont en faillite.

Il n’y a pas qu’au Portugal que les banques sont en faillite.

Il n’y a pas qu’à Chypre que les banques sont en faillite.

Il n’y a pas qu’en France que les banques sont en faillite.

Il n’y a pas qu’en Allemagne que les banques sont en faillite.

En Inde aussi.

(...) Généralement, ce sont les contribuables qui sont appelés à sauver les banques.

Le problème, c’est qu’aujourd’hui les banques sont devenues bien trop grosses pour être encore sauvées par le contribuable-lambda.

Alors, au cas où un accident surviendrait, une loi dite de “régulation bancaire” prévoit de mettre à contribution les riches épargnants.

Savez-vous ce que font ces derniers ?

Ils fuient à toute vitesse les banques les plus pourries (la Deutsche Bank, par exemple) avant qu’elles ne fassent faillite ou soient démantelées.

Cette fuite de capitaux précipite la chute des banques.

Les banques ne peuvent plus être sauvées.