
1. Nous apprenions, voici quelques jours, que près de 500 dossiers de réclamations concernant le médicament Médiator ont été rejetés, souvent parce que le patient avait eu recours à d’autres médicaments, et que le groupe d’experts estimait que, du fait des dits autres médicaments pris, rien ne pouvait être prouvé quant à la responsabilité du Médiator dans les problèmes rencontrés par lesdits patients.
C’est aller un peu vite en besogne… et en protection des intérêts du producteur du Médiator… !,
(...) 2. De son côté, un autre groupe d’experts (ou se présentant comme tels) intervenant au nom de l’Union Européenne en ce qui concerne l’analyse des produits OGM révélée par l’université de Caen, exerce, à l’inverse des intérêts de santé publique de tous les citoyens, en ne demandant pas la suspension des produits OGM, malgré le doute généré par la dite étude concernant ces produits.
Ils disent que l’étude est incomplète, et qu’en quelque sorte, il faudra recommencer les tests sur d’autres variétés de cobayes. Et par conséquent, au lieu d’appliquer le principe de précaution qui veut qu’il y a lieu de préserver la santé publique quand il y a doute, s’abstiennent de demander de suspendre les cultures utilisant ces OGM et produits de traitements. Les dits "experts", et l’organisme qui les a mandatés, laissent se poursuivre lesdites cultures comme si de rien n’était.
Il appartient de ce fait aux autorités françaises, vu les doutes visant ces produits, de poursuivre en Justice les instances européennes concernées, devant la Cour Européenne de Justice, pour présomption de mise en danger d’autrui, par absence du respect du principe de précaution.
Et donc de demander, avant d’attendre les cinq à sept ans que dure ce genre de procédure devant cette instance, une décision en référé de la suspension de toutes autorisations de cultures prévisibles ou actuelles, déjà adoptées par l’Union Européenne.
A défaut, tous les citoyens qui se sentent concernés (donc tous, dans les faits) par ce problème et pour lequel les voies de recours ne seraient pas engagées immédiatement par l’Etat Français, ont intérêt à se regrouper et à présenter directement devant la dite Cour Européenne (...)