Mouvements se demande comment l’on peut être de gauche et aimer le football, sport aux contrastes si violents, à la fois capitaliste, raciste, misogyne, homophobe et mafieux et dans le même temps

« jeu social » planétaire animé par des amateurs souvent issus des classes populaires, des minorités racialisées, dans lequel les femmes tentent de se faire une place, et qui peut produire du plaisir. Mouvements entend réfléchir aux effets de l’entrée du football dans un régime néolibéral sur les comportements des joueurs professionnels. Ce numéro se penche aussi sur les conséquences sociales de l’organisation de mega events ou la construction de nouveaux grands stades qui visent à changer le public, à contrôler ses pratiques et à réaménager les villes. (...)