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VIGI
Pour lutter contre les dérives autoritaires de l’organisation de la Police nationale par La Macronie, VENEZ NOMBREUX !!!
Mercredi 20 janvier 2021Heure : de 08h30 à une heure après la fin du conseil de discipline d’Alexandre LANGLOIS Lieu : Rue de Lutèce ou en cas de forte affluence Parvis de Notre Dame
Article mis en ligne le 11 janvier 2021

VIGI se mobilise pour défendre la liberté d’expression syndicale au sein de la Police nationale, à l’occasion du passage en conseil de discipline de son secrétaire général, Alexandre LANGLOIS.

En effet notre organisation estime qu’il est plus important de sauver la vie de nos collègues qui se suicident, de mettre fin aux agressions sexuelles d’un supérieur hiérarchique, de lutter contre des faux en écritures publics, que de ménager l’égo mal placé de quelques directeurs, qui ne font rien, comme nous l’exprimions dans ce communiqué, qui vaut à notre organisation syndicale ce conseil de discipline :

https://vigimi.fr/f/actualites-fr/entry/nous-avions-demande-sa-demission-mais-le-dgpn-a-choisi-la-fuite

De même, il est étonnant que des policiers condamnés ou ayant mutilé ou tué des innocents ne soient pas inquiétés par des procédures disciplinaires. Notre organisation milite pour que le pouvoir disciplinaire soit utilisé pour sanctionner des fautes professionnelles et non un moyen de coercition de la haute hiérarchie et des politiques.

Ce rassemblement prend encore plus de signification dans le cadre du Beauvau de la sécurité voulu par le président de la République.

Comment réformer la Police nationale en invitant à la table du ministre que des personnes qui cautionnent des actions illégales, comme des manifestations sauvages, en plein couvre-feu sur le temps de service, contre des juges ou des élus du peuple et en envoyant en conseil de discipline les organisations qui ont des propositions pour réformer notre institution ?

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.

Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. » Martin Niemöller