(...) Les « journalistes » : « Oh la la c’est la peur du vide, on se demande ce qu’on va bien pouvoir faire maintenant 🥺 »

Ben je sais pas ? TON BOULOT peut-être ? Que tu fais encore moins que d’habitude depuis quinze jours que t’es super occupé à te la coller en hurlant « Oh la la QUELLE BELLE FÊTE ! » avec tes potes au Club France en dehors duquel t’as pas mis un orteil pour voir ce qui se passe ailleurs.

Tu te souviens qu’on a plus de gouvernement depuis un mois, mais vu que Manu le King of France a décidé que les JO c’était la trêve politique, et que toi si on te laisse ouvrir ta gueule à la radio c’est parce que ça fait longtemps que t’as oublié le journalisme pour devenir un laquais, donc t’as dit « OK pur la ’trêve’ on va pas fâcher Manu, et de toutes façons la politique ça fait mal à la tête, en plus nos spécialistes sont en vacances dans leur mas du Lubéron, on va tout miser sur des gens qui courent, après une baballe ou non »

Donc là maintenant la question tendance sur l’héritage des JO, dont on sait très bien qu’aucune construction n’est de l’argent utilisé à bon escient (me sortez pas les rallongements de lignes de métro, si t’as besoin d’organiser des JO pour que les habitants puissent accéder aux transports en commun, ça s’appelle du chantage). (...)