La consommation mondiale de charbon en 2025 est attendue à un nouveau record de 8,85 milliards de tonnes, soit 0,5 % de plus que son niveau de 2024, selon les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publiées le 17 décembre. La demande mondiale de charbon devrait « attein[dre] un plateau » au cours des prochaines années, avant un déclin très progressif jusqu’en 2030. En 2030, la consommation reculerait de 3 % par rapport à 2025, repassant sous son niveau de 2023.
À l’horizon 2030, la stabilisation puis le recul de la production mondiale s’expliqueraient par des stocks de charbon élevés, une demande mondiale en baisse et une concurrence énergétique accrue, portée par la montée en puissance des renouvelables, l’expansion progressive du nucléaire et l’arrivée de nouvelles capacités de gaz naturel liquéfié, alors que deux tiers de l’usage mondial du charbon restent liés à la production d’électricité.
La consommation mondiale de charbon en 2025 est attendue à un nouveau record de 8,85 milliards de tonnes, soit 0,5 % de plus que son niveau de 2024, selon les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publiées le 17 décembre. La demande mondiale de charbon devrait « attein[dre] un plateau » au cours des prochaines années, avant un déclin très progressif jusqu’en 2030. En 2030, la consommation reculerait de 3 % par rapport à 2025, repassant sous son niveau de 2023.
À l’horizon 2030, la stabilisation puis le recul de la production mondiale s’expliqueraient par des stocks de charbon élevés, une demande mondiale en baisse et une concurrence énergétique accrue, portée par la montée en puissance des renouvelables, l’expansion progressive du nucléaire et l’arrivée de nouvelles capacités de gaz naturel liquéfié, alors que deux tiers de l’usage mondial du charbon restent liés à la production d’électricité. (...)
À l’horizon 2030, la stabilisation puis le recul de la production mondiale s’expliqueraient par des stocks de charbon élevés, une demande mondiale en baisse et une concurrence énergétique accrue, portée par la montée en puissance des renouvelables, l’expansion progressive du nucléaire et l’arrivée de nouvelles capacités de gaz naturel liquéfié, alors que deux tiers de l’usage mondial du charbon restent liés à la production d’électricité.