
IL FAUT LIBÉRER LES JOURNALISTES ET LES ACTIVISTES EN AZERBAïDJAN
Depuis plus de 10 ans, les autorités azerbaïdjanaises restreignent l’espace de la société civile. Des ONG sont fermées de façon arbitraire, et des militant·es de la société civile et des journalistes sont arrêtés ou contraints à l’exil.
L’Azerbaïdjan a été annoncé l’année dernière comme le pays hôte de la COP29. Depuis, la répression des voix critiques s’intensifie, entraînant l’arrestation et la détention arbitraire de plus d’une dizaine de militant·es et de journalistes, qui font l’objet de poursuites judiciaires.
ABSENCE DE LIBERTÉ D’EXPRESSION EN AZERBAÏDJAN
En Azerbaïdjan, les voix dissidentes sont opprimées depuis plus d’une décennie. Les groupes d’opposition, les militant·es et les détracteurs du gouvernement, notamment des initiatives et groupes environnementaux, ne peuvent pas réellement parler librement ni exprimer leurs craintes.
LES ACTIVISTES ENVIRONNEMENTAUX PARTICULIÈREMENT VISÉS (...)
L’ESPACE CIVIQUE EST INDISPENSABLE À LA RÉUSSITE DE LA COP29
La participation des militant·es et des organisations de la société civile à la COP29 est essentielle, de même que la liberté de la presse, pour garantir des débats inclusifs et efficaces. La répression de l’espace civique en Azerbaïdjan signifie que des voix de premier plan seront absentes ou réduites au silence, et que la justice climatique ne pourra pas être rendue. (...)