
Cela dénote une méconnaissance totale de la situation vécue par les personnes que rencontrent nos 65 000 bénévoles quotidiennement et dont nous avons partagé les témoignages ici : https://t.co/pd8UPZatqO
— Secours Catholique (@caritasfrance) March 15, 2022
Ce que vous constatons :
les personnes au RSA sont en situation de survie, le montant n'est pas suffisant !
⬆️La 1ère mesure à prendre : revaloriser son montant pour permettre aux personnes de vivre dignement et de pouvoir se projeter dans une formation, la recherche d'un emploi— Secours Catholique (@caritasfrance) March 15, 2022
La deuxième mesure à prendre c'est donc de renforcer les propositions d'accompagnement vers l'insertion, la formation, et l'emploi ce que les départements ne font pas assez aujourd'hui. Sans un accompagnement renforcé, la sortie de la galère est difficilement accessible.
— Secours Catholique (@caritasfrance) March 15, 2022
Par ailleurs, le bénévolat doit rester un acte volontaire et choisi.
❤Nous avons de nombreuses personnes en précarité qui s'engagent comme bénévole, c'est leur choix.
— Secours Catholique (@caritasfrance) March 15, 2022
Pour beaucoup de personnes en situation de précarité, ce bénévolat serait même impossible en raison de difficultés de mobilité, de santé, de garde d'enfants...
— Secours Catholique (@caritasfrance) March 15, 2022
Or beaucoup d'entre elles aident leur voisin, donnent un coup de main à un parent âgé ou handicapé, contribuent comme tout à chacun à la vie de la société.
Il est honteux qu'un gouvernement ou un candidat stigmatise les plus pauvres dans notre pays.— Secours Catholique (@caritasfrance) March 15, 2022
Or beaucoup d'entre elles aident leur voisin, donnent un coup de main à un parent âgé ou handicapé, contribuent comme tout à chacun à la vie de la société.
Il est honteux qu'un gouvernement ou un candidat stigmatise les plus pauvres dans notre pays.— Secours Catholique (@caritasfrance) March 15, 2022