
Certes dans une intensité et à une échelle différente, mais ceux qui couvrent l'Ukraine et connaissent ce pays, vous diront tous qu'il y avait des signes avant-coureurs..
— Loup Bureau (@LoupBureau) March 14, 2022
La guerre du Donbas était peut-être un conflit gelé, mais déjà de haute intensité. 14 000 morts.
Les combats n'ont jamais cessé. Et les ukrainiens n'ont jamais cessé aussi d'avertir la communauté internationale sur le drame qui se déroulait dans leur pays..— Loup Bureau (@LoupBureau) March 14, 2022
Mais c'est toujours le même modèle qui se répète, nous sommes incapable de réagir en amont, d'avoir le courage politique, médiatique de parler d'un pays avant que ce dernier ne se retrouve dans une situation inextricable.
Cette guerre est aussi le résultat de nos échecs.— Loup Bureau (@LoupBureau) March 14, 2022
Il y a juste à regarder le nombre de correspondants de ces dernières années pour les médias français en Ukraine.
— Loup Bureau (@LoupBureau) March 14, 2022
J'ai dû me tourner vers le cinéma documentaire, parce que c'était le seul moyen de continuer à parler de cette guerre interminable, et de cette société ukrainienne déjà profondément bouleversée.
— Loup Bureau (@LoupBureau) March 14, 2022
Parce que si le conflit dur pendant des mois, des années, il y aura un moment comme pendant la guerre en Syrie, oû tout le monde sera lassé de voir ces images.
Mais c'est précisément à ce moment là qu'il faudra continuer à raconter l'Ukraine.
— Loup Bureau (@LoupBureau) March 14, 2022
voir : hors compétition : Tranchées
Loup Bureau