
Ce pays fait face à une vague de contestation sociale vivement réprimée et sans précédent depuis le retour de la démocratie en 1990.
La police nationale française se désolidarise des pratiques de son homologue chilienne. Alors que la répression des manifestations - qui ont fait 23 morts et plus de 2000 blessés - est dénoncée par plusieurs ONG, la France a refusé d’apporter ses conseils en matière de maintien de l’ordre au gouvernement chilien qui fait face à une vague de contestation sociale vivement réprimée et sans précédent depuis le retour de la démocratie en 1990, a annoncé ce mercredi 27 novembre la police nationale au Figaro. (...)
Le gouvernement du président conservateur Sebastian Piñera avait récemment annoncé que les polices anglaise, espagnole et française conseilleraient les forces chiliennes pour aider au maintien de l’ordre dans le pays.
Le sous-secrétaire au ministère de l’Intérieur chilien, Rodrigo Ubilla, a expliqué ce mercredi au site Emol.com que cette collaboration devait consister en un partage d’expériences concernant l’approche des « situations de conflit intenses et de violences telles qu’elles ont été observées ces derniers jours ». (...)
voir ausssi :
🔴 Sage décision : la police française refuse de conseiller la police au #chili suite aux atteintes aux droits humains.
Maintenant, désolidarisez-vous de la doctrine ultra-violente imposée par le ministère de l’Interieur et certains préfets ultra.