
Perso, j'ai connu beaucoup d'employeurs méprisants vis-à-vis de leurs salariés et du droit du travail. Le respect humain est rare dans ces boulots, en particulier dans l'hôtellerie-restauration, où j'ai assisté (et subi) des scènes ahurissantes d'humiliation.
— Sébastien Marrec (@sebbimarrec) May 27, 2022
La question du logement est évidemment épineuse. Je me souviens avoir candidaté à des postes où la seule solution en la matière s'avérait le camping. Ni l'employeur ni la commune (touristique) n'avait mis en place de solutions, alors que le problème se reposait d'année en année.
— Sébastien Marrec (@sebbimarrec) May 27, 2022
Les rémunérations restent assez médiocres, malgré la revalorisation salariale de ce printemps, qui pour les saisonniers reste proche du taux d'inflation. Sans compter : les pauses non-payées, la non-majoration des heures de nuit, les heures supplémentaires "oubliées".
— Sébastien Marrec (@sebbimarrec) May 27, 2022
Avant, c'était justement 4 mois. Le changement date de la réforme de l'Unédic, qui a fait passer cette durée nécessaire à 6 mois. La réforme a également fait baisser le montant de l'allocation de 17 % en moyenne.
— Sébastien Marrec (@sebbimarrec) May 27, 2022
Messages aux journalistes, donc : creusez sérieusement le sujet au lieu de simplement vous contenter d'interroger les restaurateurs désemparés. L'impression désagréable est que les saisonniers n'ont pas le droit à la parole, et qu'il n'y a aucun problème humain dans cette affaire
— Sébastien Marrec (@sebbimarrec) May 27, 2022