
Rappelez-vous toujours que ce n'est pas le capital qui augmente la valeur de la richesse : c'est le travail, et rien d'autre.
Les cotisations sociales ne sont pas une faveur, c'est votre propre paye. Dire que le système est généreux ne veut rien dire.#FeteDeLHuma pic.twitter.com/zDtCdzGJRR
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) September 10, 2022
Il a tout d’abord rappelé que ce n’était pas le capital qui augmentait la valeur de la richesse, mais le travail. Les cotisations sociales ne sont pas une faveur, mais le résultat de la paye des travailleurs. Il y a une obligation de lutte contre la vie chère car le capital veut s’emparer de 10% des revenus du travail. Il faut donc organiser une lutte globale, frontale et générale et consacrer son énergie à la réunion de l’unité populaire face au capital concernant la répartition de la richesse produite.
Jean-Luc Mélenchon a appelé à une véritable démonstration de force lors d’une marche contre la vie chère à la mi-octobre. Il a souligné la nécessité de mener des actions populaires avec le peuple dans son ensemble. Pour cela, la marche doit être organisée un weekend pour permettre une participation massive.
Sur l’extrême droite, il a rappelé que le RN était un parti fasciste. En effet, l’objectif du fascisme est d’empêcher la lutte des classes en divisant le peuple. Le RN diffuse le racisme et l’antisémitisme pour diviser le peuple et l’empêcher de s’unir contre la grande bourgeoisie. Au 2ème tour des élections législatives, la droite a préféré laisser passer un fasciste plutôt que quelqu’un de la #NUPES. Hier, c’était plutôt Hitler que le Front populaire. Aujourd’hui, c’est Le Pen plutôt que Mélenchon. Il a ensuite expliqué que la meilleure manière pour les fascistes d’empêcher la lutte de classes, c’est de la dévier en racisme, dans la lutte contre les musulmans par exemple. C’est pourquoi on ne peut avancer sans mener la lutte contre le racisme qui divise le peuple.
Il a par la suite expliqué pourquoi le néolibéralisme menait de fait à un autoritarisme accru (...)