
Nous sommes prévenus par l’auteur : « Bien qu’inspirée de faits bien réels et fondée sur de nombreuses témoignages et documents, cette histoire est une fiction. ». En quoi concerne-t-elle ou peut-elle concerner la critique des médias ?
Ludo Sterman, l’auteur de cette fiction – Dernier shoot pour l’enfer [1] - est un ancien journaliste sportif du journal L’Equipe. Mais c’est sous pseudonyme qu’il publie un récit qui met en scène… un journaliste sportif, Julian Milner, qui a commencé une carrière prometteuse au journal… Le Sport. (...)
Une fiction, certes, mais étayée sur les propos d’un personnage réel – le docteur Jean-Pierre de Mondenard – sur les méthodes de dopage et leurs effets (p.195-203) [2]
Une fiction qui dénonce les dérives du « sport business » et les complaisances dont elles bénéficient du côté de la presse sportive et notamment du journal Le Sport dont les mœurs et les acteurs – imaginaires… - sont évoqués avec acidité. (...)