
Découvert par une agence de veille et relevé par Rue89, ce piratage concerne près d’un millier de cadres de la majorité dont Christian Jacob, Michèle Alliot-Marie, Marie-Anne Montchamp et M.Copé, qui a indiqué avoir reçu « des centaines et centaines de messages d’injures, d’insultes à caractère très diversifié » et précisé qu’il allait « dans une heure, changer de numéro de portable ».
Selon Rue89, qui a décidé de ne pas indiquer le lien du site concerné, « quatre fichiers texte ont été mis en ligne samedi 5 novembre et comportent un grand nombre de données sensibles (...)
Le ou les responsables de ce piratage ont laissé un message de revendication sur le serveur piraté de l’UMP, relayé par Rue89 : « A tous les gardés à vue des banlieues karcherisées, aux manifestants battus, aux journalistes espionnés, aux demandeurs d’asile ignorés et matraqués, aux Roms stigmatisés, à toutes les victimes de l’UMP, nous vous livrons les coordonnées de l’UMP. Œil pour œil, dent pour dent. » (...)