
Le procès commence à Boulogne-sur-mer en l'absence du bénévole britannique. Il n'a pas pu faire le déplacement en raison des règles liées à l'épidémie de Covid-19.
— France Bleu Nord (@fbleunord) June 22, 2021
Le premier CRS interrogé affirme n'avoir eu aucune volonté de mentir, de protéger son collègue ou de nuire à Tom Ciotkowski. Pour lui les vidéos sont sorties d'un contexte global.
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Le troisième CRS reconnaît en revanche qu'après avoir vu les vidéos, il est "indéniable" que les faits ne sont pas tels qu'il les a décrits. Le président note une évolution entre ses déclarations à l'IGPN et ses propos à l'audience aujourd'hui.
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Face à ces vidéos, le brigadier-chef, qui ne nie pas être le CRS que l'on voit à l'image, est assez confus, parle de son "ressenti ", d'angle de vue manquants.
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La procureure de la République met le brigadier-chef devant ses contradictions, ses versions changeantes : "vous êtes le seul à ne pas vous remettre en question, vous voulez juste sauver votre peau".
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Dans ses réquisitions, elle dit avoir "le désagréable sentiment qu'on a voulu couvrir une interpellation et des violences. Quelle honte ! Ça décrédibilise la profession toute entière".
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Le premier avocat de la défense demande la relaxe, et fait remarquer : "pour un policier, un an d'interdiction d'exercer ça vaut trois ans de prison ferme !"
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Le jugement est mis en délibéré au 2 septembre.
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