
Les associations de consommateurs y croyaient, les commissions de surendettement pensaient que le nombre de dossiers allait diminuer...Rien ne sera fait, à part quelques mesures indispensables : le minimum incontournable !
Les banques disent ouf ! les familles continueront à trinquer !
Le projet de loi portant réforme du crédit à la consommation et du crédit renouvelable présente quelques avancées indéniables comme celles-ci soulignées par l’association familiale laïque : le CNAFAL :
– Modifications des obligations en matière de publicité et d’information.
– L’amortissement minimal du capital sur un crédit renouvelable doit approcher les 80%.
– Une mention légale obligatoire sur l’engagement d’un crédit va dans le bon sens.
– Le délai de rétractation porté à 14 jours ne peut qu’aider le consommateur à une saine réflexion. »
Ces avancées masquent l’essentiel : le maintien du pouvoir nocif des banques et notamment de celles qui pratiquent les crédits revolving...