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Silence on viole...
par sorelisa lundi 26 août 2013
Article mis en ligne le 30 août 2013
dernière modification le 26 août 2013

(...) Le problème se retrouve dans les établissements de longues peines. Apres le procès si la personne a pris une lourde sanction, doucement sa famille ne viendra plus le voir le temps le coupera du monde extérieur. Un jour il rencontrera en cellule un hétérosexuel comme lui qui en peine d’amour, ils se feront des gentillesses. Ces douceurs deviendront des caresses et comme hors du temps et de toute civilisation. Malgré eux à leur corps défendant et impatients se feront l’amour, et abandonnés de tous, ils retrouveront l’affection qui leur manquai

Le plus terrible et difficilement contrôlable se sont les viols en prison. Un détenu pour assouvir ses bas instincts est prêt à éclater le cul d’un détenu moins fort lui. Il peut lui faire subir les pires outrages, ramasser ou lécher sa merde. Il le tiendra en respect menaçant sa famille, son intégrité s’il en parlait au surveillant ou à son foyer. Dans notre quotidien de nous les gardiens, c’est difficilement repérable. La personne est tellement terrorisée. Elle est sous le syndrome de Stockholm, elle se comportera de façon relativement normale face au personnel comme à ses proches.

C’est la nuit que des cris terribles déchirants à la limite du tolérable sont entendus. L’architecture des murs ne nous permet jamais de repérer la geôle et de faire stopper ces supplices. Le bourreau le sait bien et stop toujours avant notre intervention ce qui rend ces cas, rares, difficile à résoudre. (...)

Le plus terrible et difficilement contrôlable se sont les viols en prison. Un détenu pour assouvir ses bas instincts est prêt à éclater le cul d’un détenu moins fort lui. Il peut lui faire subir les pires outrages, ramasser ou lécher sa merde. Il le tiendra en respect menaçant sa famille, son intégrité s’il en parlait au surveillant ou à son foyer. Dans notre quotidien de nous les gardiens, c’est difficilement repérable. La personne est tellement terrorisée. Elle est sous le syndrome de Stockholm, elle se comportera de façon relativement normale face au personnel comme à ses proches.

C’est la nuit que des cris terribles déchirants à la limite du tolérable sont entendus. L’architecture des murs ne nous permet jamais de repérer la geôle et de faire stopper ces supplices. Le bourreau le sait bien et stop toujours avant notre intervention ce qui rend ces cas, rares, difficile à résoudre. (...)