
Alors que l’État turc accélère et intensifie la répression contre le mouvement kurde et ses soutiens, le syndicalisme indépendant, l’opposition de gauche et démocratique ainsi que la presse d’opposition, des milliers de personnes, syndicalistes, co-maires, journalistes, député.e.s, membres du DBP et du HDP sont actuellement en prison. Les conditions de détention se dégradent de jour en jour, avec des menaces, des attaques physiques, la confiscation ou l’entrave de tous les droits (parloir, correspondance, entretien avec un avocat). Torture et mauvais traitements, qui avaient reculé depuis une dizaine d’années, reviennent en force.
Les étudiant.e.s kurdes et révolutionnaires sont parmi les premier.e.s visé.e.s par cette répression. Près de 400 étudiant.e.s, en majorité Kurdes ou soutiens du mouvement kurde sont actuellement incarcéré.e.s dans les prisons turques.
Alors que l’État turc accélère et intensifie la répression contre le mouvement kurde et ses soutiens, le syndicalisme indépendant, l’opposition de gauche et démocratique ainsi que la presse d’opposition, des milliers de personnes, syndicalistes, co-maires, journalistes, député.e.s, membres du DBP et du HDP sont actuellement en prison. Les conditions de détention se dégradent de jour en jour, avec des menaces, des attaques physiques, la confiscation ou l’entrave de tous les droits (parloir, correspondance, entretien avec un avocat). Torture et mauvais traitements, qui avaient reculé depuis une dizaine d’années, reviennent en force.
Les étudiant.e.s kurdes et révolutionnaires sont parmi les premier.e.s visé.e.s par cette répression. Près de 400 étudiant.e.s, en majorité Kurdes ou soutiens du mouvement kurde sont actuellement incarcéré.e.s dans les prisons turques.