
(...) Tous les citoyens sont concernés : non seulement parce que les méthodes relèvent de la surveillance de masse, mais aussi parce que le texte étend dangereusement le champ d’action des services spécialisés. La surveillance pourra s’abattre sur les mouvements sociaux et politiques, au titre de la « prévention des violences collectives » et sur tout citoyen ou mobilisation qui, dénonçant des pratiques industrielles néfastes, porterait atteinte aux « intérêts économiques ou industriels essentiels de la France ». Ce projet est une menace pour les libertés politiques et les mobilisations à venir.
La liberté et la sûreté, droits naturels et imprescriptibles reconnus par la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen sont en péril. (...)
cyberaction mise en ligne le jeudi 16 avril 2015
Proposée par Cyberacteurs
Elle sera envoyée à Le rapporteur du texte
En soutien à Amnesty International France, Attac, Cecil , Creis-Terminal, Fondation Copernic, La Quadrature du Net, LDH Solidaires, Syndicat des avocats de France, Syndicat de la Magistrature
| à votre député | à vos sénateurs
Elle prendra fin le : mardi 30 juin 2015