
Twitter va-t-il se retrouver lui-même sur le banc des accusés à la place des internautes qui utilisent ses services pour diffuser des messages de haine, ou des blagues de très mauvais goût ? Le parquet de Paris a ouvert mardi une enquête préliminaire pour "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur orientation sexuelle", suite à la plainte déposée mi-août par le comité IDAHO France.
Ce dernier reprochait à Twitter de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour censurer rapidement le hashtag #LesGaysDoiventDisparaîtreCar et #TeamHomophobe
Twitter va-t-il se retrouver lui-même sur le banc des accusés à la place des internautes qui utilisent ses services pour diffuser des messages de haine, ou des blagues de très mauvais goût ? Le parquet de Paris a ouvert mardi une enquête préliminaire pour "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur orientation sexuelle", suite à la plainte déposée mi-août par le comité IDAHO France.
Ce dernier reprochait à Twitter de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour censurer rapidement le hashtag #LesGaysDoiventDisparaîtreCar et #TeamHomophobe (...)